Fiche D'arrêt - 3Ème Chambre Civile De La Cour De... | Etudier

Thursday, 1 August 2024

par Serge Braudo Conseiller honoraire à la Cour d'appel de Versailles Cour de cassation, 3ème chambre civile 23 septembre 2009, 08-18.

  1. Arrêt 23 septembre 2003
  2. Arrêt 23 septembre 2009 2016
  3. Arrêt 23 septembre 2007 relatif

Arrêt 23 Septembre 2003

2007, III, n° 122 (rejet) Texte: LA COUR DE CASSATION, TROISIÈME CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrêt suivant: Sur le moyen unique: Attendu, selon l'arrêt attaqué (Paris, 22 mai 2008), que les époux X... et M.

Arrêt 23 Septembre 2009 2016

Sens de l'arrêt: Rejet Type d'affaire: Civile Numérotation: Numéro d'arrêt: 08-17720 Numéro NOR: JURITEXT000021079744 Numéro d'affaire: 08-17720 Numéro de décision: 30901052 Identifiant URN:LEX: urn:lex;fr;ssation;arret;2009-09-23;08. 17720 Analyses: COPROPRIETE - Syndicat des copropriétaires - Assemblée générale - Procès-verbal - Notification - Mentions obligatoires - Reproduction de l'article 42 - alinéa 2 - de la loi du 10 juillet 1965 - Défaut - Portée. COPROPRIETE - Syndicat des copropriétaires - Assemblée générale - Procès-verbal - Notification - Notification tardive - Portée. Arrêt 23 septembre 2007 relatif. La prescription de l'article 42, alinéa 2, de la loi du 10 juillet 1965, selon laquelle la notification des décisions doit être faite par le syndic dans le délai de deux mois à compter de l'assemblée générale, étant sans incidence sur le droit de recours de tout copropriétaire, que le délai ait ou non été respecté, l'absence de reproduction de cette disposition dans la notification n'entraîne pas la nullité ou l'inefficacité de celle-ci Références: Dans le même sens:3e Civ., 4 juin 2003, pourvoi n° 02-11134, Bull.

Arrêt 23 Septembre 2007 Relatif

Le demandeur ayant une certaines difficulté à prouver quel est, des deux laboratoire, celui à l'origine de la molécule, la Cour de cassation va alors interpréter de manière souple la preuve du lien de causalité B/ L'interprétation souple de la preuve du lien de causalité par le Cour de cassation Après avoir notifié que le lien de causalité entre la molécule et la maladie était avérée, va se poser la question du lien de causalité entre l'auteur de la molécule et le dommage. Dans un premier temps, la cour d'appel va être dur avec les requérants, car en l'espèce, elle va faire une interprétation stricte de l'article 1315 du code civil qui prévoit que le demandeur doit prouver son dommage, en déboutant les demandeurs du fait qu'ils n'aient pas pu prouver lequel des deux laboratoires était à l'origine du dommage et du coup ils ne pouvaient pas obtenir réparation avec « aucun élément de preuve n'établissait l'administration à celle-ci du distilbène ». Les demandeurs se retrouvaient alors bloqués dans cette situation car la victime ne démontrait pas quel médicament avait été administré à sa mère.

Sens de l'arrêt: Cassation Type d'affaire: Sociale Numérotation: Numéro d'arrêt: 08-60535 Numéro NOR: JURITEXT000021080147 Numéro d'affaire: 08-60535 Numéro de décision: 50901953 Identifiant URN:LEX: urn:lex;fr;ssation;arret;2009-09-23;08. Cour de cassation, première chambre civile, 30 septembre 2009 - le droit à l'expertise biologique. 60535 Analyses: ELECTIONS PROFESSIONNELLES - Procédure - Décision du tribunal d'instance - Contentieux préélectoral - Voies de recours - Détermination. CASSATION - Décisions susceptibles - Décision en dernier ressort - Décision du tribunal d'instance statuant en matière préélectorale. Le pourvoi en cassation contre une décision rendue en dernier ressort est une voie de recours qui constitue pour les justiciables une garantie fondamentale. Il s'ensuit que la décision du tribunal d'instance statuant en matière de contestation préélectorale, rendue en dernier ressort, est susceptible de pourvoi en cassation Références: Sur la recevabilité du recours contre le jugement rendu en matière préélectorale, en sens contraire:Soc., 7 Mai 2002, pourvoi n° 01-60041, Bull.

MOYENS ANNEXES au présent arrêt. Moyen produit AU POURVOI PRINCIPAL par la SCP Boré et Salve de Bruneton, avocat aux Conseils, pour les consorts X.... Il est fait grief à l'arrêt d'AVOIR condamné les consorts X..., in solidum avec la société AR EX CO, à verser aux époux Y... la somme de 19. 728, 69 en réparation du coût des matériaux contenant de l'amiante et de reconstruction ainsi que la somme de 30. 000 en réparation de leur préjudice moral et leur trouble de jouissance; AUX MOTIFS QUE les époux Y... ont acquis des consorts X... une maison d'habitation... à Bry sur Marne; que la promesse de vente du 18 juin 2005 mentionnait « le promettant déclare avoir effectué les recherches en conformité avec ledit décret (du 3 mai 2002) ainsi qu'il résulte d'une attestation délivré par le cabinet Bati Plans le 7 mars 2003. Commentaire d'arrêt de la 1ère Chambre civile de la Cour de cassation du 24 septembre 2009 relatif aux victimes du DES et l'établissement du lien de causalité pour mettre en cause les laboratoires. Il résulte de cette recherche que toutes les parties du bien ont été visitées et qu'il n'existe pas de produits susceptibles de contenir de l'amiante »; que cette mention a été reprise dans l'acte authentique du 16 septembre 2003; que l'article 5-69 du décret du 21 mai 2003 mentionne que les propriétaires des immeubles dont le permis de construire a été délivré avant le 1er juillet 1997 produisent, au plus tard à la date de toute promesse de vente ou d'achat, un constat précisant la présence ou, le cas échéant, l'absence de matériaux et produits contenant de l'amiante mentionnés à l'annexe 13.