Quitter L'enseignement - Quelques Conseils

Thursday, 1 August 2024

Je ne sais pas quel travail je vais faire, mais je suis persuadée qu'il va bientôt y avoir une opportunité qui va se présenter. Vous avez aussi effectué un changement de carrière? Vous aimeriez partager votre histoire avec nous? Écrivez-nous!

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Le temps consacré à l'apprentissage de ces ordinateurs et tous ces nouveaux cours a fini par être épuisant. En 1998, quand le gouvernement a annoncé qu'il changeait le programme une fois de plus, j'ai senti que c'était la fin pour moi, car je ne me voyais pas recommencer ce que j'avais vécu en 1982. Je suis allée voir le directeur des services pédagogiques et je lui ai annoncé que je quitterais à la fin de l'année scolaire. J'avais 51 ans. Quels étaient vos plans? D. : Pendant mes années d'études en sciences humaines au cégep, je suis tombée en amour avec la langue espagnole, que j'étudiais dans mes cours complémentaires. Hé oui, j’ai quitté l’enseignement ! Voilà pourquoi... - Optania. J'ai profité des cours offerts en supplément en Espagne durant un été. L'année suivante, j'ai appris qu'il se donnait des cours au Mexique pour les étrangers, je me les suis offerts. Au retour de ces vacances/études, j'ai décidé de m'inscrire au baccalauréat en espagnol à l'Université Concordia, à Montréal, à temps partiel. J'ai donc décidé de me chercher un emploi qui mettrait mes compétences en espagnol à profit.

Réaliser que ce n'est pas pour moi J'ai toujours aimé travailler en relation d'aide, principalement auprès des enfants. C'est ce qui m'a conduit vers une formation en adaptation scolaire. Soucieuse de toujours en savoir plus pour avoir le meilleur impact auprès de mes élèves, j'ai poursuivi à la maitrise en orthopédagogie. Après plus de 6 ans d'études dans un domaine aussi spécifique, je n'avais jamais envisagé faire autre chose. Par contre, entre la théorie et la pratique, la réalité est toute autre et je ne me sentais jamais à la hauteur pour exercer ce métier. Quitter l'enseignement | Le Journal de Montréal. J'avais beau me référer à mes collègues, faire encore plus de lectures et de formations, faire des heures impossibles de planification, je n'étais pas satisfaite de mon rendement. J'étais incapable de diminuer les attentes que j'avais envers moi, j'aurais eu l'impression d'abandonner mes élèves. J'étais prise dans le tourbillon de la performance, au détriment de ma santé mentale. Des options limitées Je ne me cacherai pas que les avantages de la profession sont grands.