Table Du Seigneur Des Anneaux Online

Wednesday, 31 July 2024

16, 1-2; 2 Cor. 3, 1-2), parce qu'il est déjà admis à la table du Seigneur dans une autre localité où la table est dressée sur le terrain de l'unité du corps. Il est membre du corps de Christ, ayant donc place à la table du Seigneur partout où elle est dressée sur ce terrain. Plus les fausses doctrines se sont multipliées dans la chrétienté, plus il a fallu de vigilance pour admettre quelqu'un à la table du Seigneur. Si des chrétiens qui n'ont pas personnellement de fausses doctrines participent à une table à laquelle sont reçus ceux qui en ont, ils s'identifient avec cette table là; en retournant à une table pure du mal, ils mettent celle-ci en communion avec ce mal. (Principe enseigné en 1 Cor. 10, 19-22). Lorsqu'il y a lieu de recevoir à la table du Seigneur des personnes engagées dans des associations qui tolèrent le mal, il faut distinguer entre ceux qui sont sciemment associés avec le mal et ceux qui s'en sont associés d'une manière inconsciente. Il faut « sauver » ces derniers « avec crainte », les arrachant hors du feu, selon Jude 23.

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Michael Hardt Il est bon parfois de reconsidérer un thème ancien avec un œil neuf. Cet article n'a pas pour but de faire de la controverse, mais d'établir aussi brièvement que possible, ce que nous croyons être le courant de pensée, et la force de l'argumentation de ce passage qui traite de la table du Seigneur. Le contexte, comme toujours, est important. Rappelons d'abord que la première épître aux Corinthiens traite de questions pratiques que rencontre l'Assemblée sur la terre. On peut y voir une analogie avec le livre des Nombres (qui montre le peuple (terrestre) de Dieu dans sa traversée du désert). Nous n'assimilons pas Israël et l'Église, comme beaucoup le font, car ce sont deux entités entièrement distinctes. Toutefois, maintes expériences d'Israël fournissent des illustrations et des instructions pour l'Assemblée aujourd'hui. Le chapitre 10 en est un exemple: les 13 premiers versets relatent divers incidents de l'histoire nationale d'Israël, et en tirent des leçons pour aujourd'hui.

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6. 14 à 16). La communion du sang du Christ La base de cette communion n'est pas un ensemble de pensées, même bibliques, communes aux chrétiens, mais le sang de Christ. Notons que si nous participons à la table du Seigneur, nous avons communion avec le sang et le corps du Christ. Christ, l'oint de Dieu, fut rejeté par ceux qu'il venait sauver et rassembler, de sorte qu'il ne put établir avec eux une relation de communion. Par sa mort et sa résurrection, il inaugura une nouvelle communion. Ceux qui sont au bénéfice de son œuvre, ont le privilège d'en jouir. Dorénavant, la bénédiction divine envers nous n'a plus d'obstacle, et en retour nous pouvons bénir Dieu. La communion du corps du Christ Pendant que Christ est dans le ciel, tous les rachetés, unis ensemble par l'Esprit Saint, forment son corps mystique sur la terre auquel il est intimement lié. La participation au seul et même pain exprime que nous sommes un seul corps avec lui. Nous trouvons, dans le sacrifice volontaire de prospérité, un beau type de cette communion (Lév.

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Le même principe s'applique aujourd'hui: « si nous prenons les signes le jour du Seigneur (=dimanche), nous ne pouvons pas nous associer à ce qui déshonore Christ pendant le reste de la semaine ». Pour qu'il ne subsiste aucun doute, disons clairement que ce qui a été dit ci-dessus n'implique en aucune manière que la table du Seigneur soit la table matérielle sur laquelle les signes sont posés. Dans l'Écriture, une table représente la communion, et la communion exprimée en prenant les signes exclut la participation avec toute communion qui déshonore le Seigneur. La seconde question concerne tout croyant aujourd'hui — et elle est difficile. Vu la fragmentation de la profession chrétienne, où faut-il aller…? La réponse n'est pas dans une « étiquette », ni dans l'adresse de tel groupe particulier de chrétiens. Mais si l'on veut chercher un lieu pour participer aux signes d'une manière conséquente avec la table du Seigneur, ne faut-il pas rechercher les caractères suivants: la reconnaissance de l'unité du corps de Christ: nous participons au pain parce que nous sommes membres de ce seul corps, non pas parce que nous sommes membres d'une quelconque organisation ou dénomination (10:17), la reconnaissance de l'autorité du Seigneur (c'est Sa table!

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Un premier point à noter est que Paul parle de quatre activités extérieures: bénir la coupe, rompre le pain, manger des sacrifices Juifs et sacrifier aux idoles. Il montre ensuite que, à chaque fois, cette activité extérieure exprime et implique une communion avec un principe plus profond: communion respectivement avec le sang de Christ (10:16), avec le corps de Christ (10:16), avec l'autel d'Israël (v. 18), avec la table du Seigneur (10:21), et avec la table des démons (10:21). On peut le résumer selon le tableau suivant: Activité extérieure Communion impliquée avec Bénir la coupe le sang de Christ Rompre le pain le corps de Christ Manger des sacrifices (Juifs) l'autel d'Israël Sacrifier aux idoles les démons L'apôtre montre ainsi que l'association extérieure avec des cérémonies idolâtres païennes implique la communion avec les démons — une conclusion qui a sans aucun doute surpris les Corinthiens. Ils voulaient certainement argumenter dans le sens suivant: « Nous ne sommes pas impliqués dans l'idolâtrie parce que nous visitons seulement le pourtour du temple, et seulement pour manger un peu de viande; nous sommes convaincus que les idoles ne sont rien, et nous ne croyons pas en elles ».

Une personne qui rompt le pain est aussi sujette à la discipline de la maison de Dieu. En voyant le pain sur la table, nous voyons l'expression du corps entier et nous reconnaissons que tous les croyants font partie du corps de Christ qu'ils soient présents ou non à la table. Heureusement, il n'est pas nécessaire d'attendre que tous les croyants d'une localité veuillent obéir au Seigneur pour rompre le pain à sa table: ceux qui désirent être fidèles ont le privilège de pouvoir se réunir autour de sa table même s'ils ne sont que deux ou trois. L'épître aux Corinthiens diffère de celle aux Éphésiens autant pour le sujet du « corps » que pour celui de la « maison ». Les Éphésiens nous montre cette Assemblée qui croît pour être un temple saint dans le Seigneur, une habitation de Dieu par l'Esprit, ainsi qu'un corps uni avec la tête glorifiée dans le ciel. Cette assemblée y est aussi présentée comme épouse de Christ. Et bien, dans les Corinthiens, c'est autre chose puisque nous y avons l'assemblée qui est vue comme une maison édifiée par l'homme qui est responsable des matériaux qu'il y introduit et de l'ordre qui doit y régner.