Banane De Guadeloupe Et Martinique : Rien Ne Peut La Battre Marque De Scher Lafarge, Sur Marques.Expert

Thursday, 11 July 2024

«Nous étions en phase de reconquête», regrettent les producteurs locaux. Ils étaient parvenus, depuis trois ans, à taire leurs rivalités. Amélioration de la qualité, marketing redéfini, stratégie commerciale commune, tout semblait réuni pour la survie de la profession. La campagne de publicité - «Banane de Guadeloupe et de Martinique, rien ne peut la battre» - devait être relancée cet automne. Dean l'a renvoyée à plus tard. «Nous ne baisserons pas les bras, maintient Eric de Lucy, le président de l'Union des groupements de producteurs de bananes. Les efforts que nous avons déployés au cours de ces dernières années nous permettront de reprendre nos positions. » Une détermination avec laquelle devront compter les concurrents américains. Francine Rivaud

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Publié le 20/08/2007 à 06:00, Mis à jour le 14/10/2007 à 16:40 - « La banane de Guadeloupe et de Martinique, rien ne peut la battre. » Sauf un terrible ouragan de catégorie 4. Les bananeraies ont été détruites à 100% en Martinique et à plus de 70% en Guadeloupe... - « La banane de Guadeloupe et de Martinique, rien ne peut la battre. » Sauf un terrible ouragan de catégorie 4. Les bananeraies ont été détruites à 100% en Martinique et à plus de 70% en Guadeloupe. Idem pour la canne à sucre. Chaque année, ce sont 251 000 tonnes de bananes qui sont vendues par les Antilles, essentiellement en métropole. « Les pertes se monteraient déjà à plus de 170 millions d'euros, selon les premières estimations », a indiqué hier le secrétaire d'État à l'Outre-Mer Christian Estrosi. L'ouragan Dean pourrait être fatal pour un grand nombre de producteurs de bananes, déjà mis à mal par des accords de l'Organisation mondiale du commerce. De 1993 à 1999, la « guerre de la banane » a opposé les États-Unis à l'Union européenne.

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20 avril 2008 7 20 / 04 / avril / 2008 05:03 Après le lavage, elles sont triées sur le volet... Et hop, c'est la mise en boîte! Je vous l'avais dit, mais si vous ne me croyez pas... Ce qui est écrit est écrit: rien ne peut la battre! Published by Chasseur d'images - dans Paysages commenter cet article …

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D'autres sont accusés d'avoir empêché les agents de se rendre à leur travail alors qu'ils tenaient un piquet de grève devant l'hôpital. Aux Antilles, comme dans tous les hôpitaux de France, les masques, les gants, les blouses, les respirateurs sont en nombre insuffisant. Mais le plus scandaleux demeure le manque d'eau au robinet dans plusieurs communes et quartiers en Guadeloupe. Comment respecter le premier des gestes barrières qui est celui de se laver très souvent les mains, quand il n'y a pas d'eau? Cette pénurie n'est pas nouvelle et date de plusieurs années. Mais malgré les promesses de l'État et des élus locaux, cette situation perdure. En réalité, seule une explosion de colère populaire contraindra les soi-disant autorités à régler enfin ce problème, dans une région de surcroit très fréquemment arrosée par des pluies. Face à la contagion, des débrayages ou des réactions de colère de travailleurs ont été observés sur les plantations de banane et dans certaines entreprises. Les ouvriers reprochent aux patrons de la banane le manque de sécurité.

"Les choses sont claires: 100% de nos plantations ont été détruites. Au moins, il n'y aura ni polémique ni abus », ironise Frédéric de Reynal, président de Banamart, principal groupement de planteurs martiniquais. Même constat de désolation à la Guadeloupe, où la quasi-totalité des 3 000 hectares de bananeraies ont été dévastés. Avec des rafales atteignant 215 kilomètres à l'heure en Martinique et 140 en Guadeloupe, le cyclone tropical Dean a anéanti brutalement toute la production de bananes antillaises, soit 270 000 tonnes annuelles, et mis au chômage technique quelque 800 planteurs et leurs 15 000 salariés. Diaporama Les ravages de l'ouragan Dean. « 2007 devait être l'année phare du planteur, rappelle, mélancolique, Francis Lignières, président du groupement des Producteurs de Guadeloupe. Après des années de vaches maigres, nous avions enfin achevé notre mutation et redressé nos exploitations. » Voilà près de cinq ans, en effet, que la banane antillaise a amorcé son aggiornamento. Une question de survie: divisée en plus de 40 marques, éparpillée sur des centaines de propriétés, minée par l'éternelle rivalité martiniquo-guadeloupéenne, discréditée à Bruxelles, la principale production agricole des tropiques français n'en finissait pas de perdre du terrain.