Poèmes Et Poésie Sur La Solitude - Poetica.Fr

Wednesday, 31 July 2024

Si nous devons bientôt, des bas-fonds en délire, Le voir s' avancer, fier de tant d' écroulements, Du moins nous n' aurons pas applaudi de la lyre Au triomphe futur d' ignobles éléments. Nous ne trouvons en nous que des accents funèbres, Depuis que nous savons l' affreux secret des flots. Nous voulions la lumière, ils feront les ténèbres; Nous rêvions l' harmonie, et voici le chaos. Vieux monde, abîme-toi, disparais, noble arène Où jusqu 'au bout l'Idée envoya ses lutteurs, Où le penseur lui-même, à sa voix souveraine, Pour combattre au besoin, descendait des hauteurs. Tu ne méritais pas, certes, un tel cataclysme, Toi si fertile encore, ô vieux sol enchanté! Toujours et jamais poesie.com. D'où pour faire jaillir des sources d' héroïsme, Il suffisait d'un mot, Patrie ou Liberté! Un océan fangeux va couvrir de ses lames Tes sillons où germaient de sublimes amours, Terrain cher et sacré, fait d' alluvions d'âmes, Et qui ne demandais qu'à t' exhausser toujours. Que penseront les cieux et que diront les astres, Quand leurs rayons en vain chercheront tes sommets, Et qu'ils assisteront d'en haut à tes désastres, Eux qui croyaient pouvoir te sourire à jamais?

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À VICTOR HUGO Tu l'as dit: C'en est fait; ni fuite ni refuge Devant l' assaut prochain et furibond des flots. Ils avancent toujours. C'est sur ce mot, Déluge, Poète de malheur, que ton livre s'est clos. Mais comment osa-t-il échapper à ta bouche? Ah! pour le prononcer, même au dernier moment, Il fallait ton audace et ton ardeur farouche, Tant il est plein d' horreur et d' épouvantement. Vous êtes avertis: c'est une fin de monde Que ces flux, ces rumeurs, ces agitations. Nous n'en sommes encore qu'aux menaces de l'onde, À demain les fureurs et les destructions. Déjà depuis longtemps, saisis de terreurs vagues, Nous regardions la mer qui soulevait son sein, Et nous nous demandions: « Que veulent donc ces vagues? On dirait qu' elles ont quelque horrible dessein. » Tu viens de le trahir ce secret lamentable; Grâce à toi, nous savons à quoi nous en tenir. Diplome-de-la-meilleure-recitation-de-la-poesie--Toujours-et-Jamais-. Oui, le Déluge est là, terrible, inévitable; Ce n'est pas l' appeler que de le voir venir.

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On les rencontrait dans toutes les foires. On les voyait le soir traverser le village sur un tandem.

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Solitude... Pour vous cela veut dire seul, Pour moi – qui saura me comprendre ( continuer... ) Vous parler? Non. Je ne peux pas. Je préfère souffrir comme une plante, Comme ( continuer... ) Ah! les oaristys! les premières maîtresses! L'or des cheveux, l'azur des ( continuer... ) Dis-moi quelle fut la chanson Que chantaient les belles sirènes Pour faire pencher ( continuer... ) Sur ma voie parallèle au chemin de la vie et comme hors du circuit parfois ( continuer... Poème Pour toujours - François Coppée. ) Qu'importe si la nuit m'emportera le souffle sur les chemins de l'âme, je rêverai, ( continuer... ) C'était une âme neuve, une âme de créole, Toute de feu, cachant à ce monde ( continuer... ) Entendez-vous ce cri? Inclassable, mouvant Il vient de ces déserts que la pluie ( continuer... ) Gaieté vibrait en ton archet... M'enveloppait comme lumière... Je me souviens.

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Le jour se ( continuer... ) Et je serai face à la mer qui viendra baigner les galets. Caresses d'eau, de ( continuer... ) Le ciel est parsemé d'étoiles solitaires Qui vivent dans l'oubli en ces temps ( continuer... ) Il tombe dans le noir Il aimerait atterrir mais sa terre n'existe plus Quelques rochers ( continuer... ) à celle qui m'a dit: "tu mourras seul" "ese pájaro come a grandes picotazos ( continuer... ) J'erre, noctambule, Mon chemin est sinueux. J'avance sans guide, les yeux ( continuer... ) Entends comme brame près des acacias en avril la rame viride du pois! Dans ( continuer... ) A portée de main, je te sens si loin. Comme tu parais sage! (ou n'y vois-je ( continuer... ) Elle sait que l'attente est un cruel supplice, Qu'il doit souffrir déjà, qu'il ( continuer... ) Tu vivais en loup solitaire affamé de tendresse traqué par l'indifférence Un ( continuer... Toujours et jamais poésie film. ) « Seulette suis et seulette veux être, Seulette m'a mon doux ami laissée » Christine ( continuer... ) A peine assis d'un quart de fesse au strapontin de la kermesse qu'on appelle ( continuer... ) De gaieté en gaieté J'ai contrefait ma joie De tristesse en tristesse J'ai ( continuer... ) Chaussures accrochées Dans la grange Où dort le maïs Qui sèche.

Pensée figée, ( continuer... ) Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement ( continuer... ) Le long d'une rivière aux rives verdoyantes Déambulait un âne érudit et lettré Dont ( continuer... ) Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux ( continuer... ) Rougissante et tête baissée, Je la vois me sourire encor. - Pour le doigt de ( continuer... ) C'est l'hiver. Le charbon de terre Flambe en ma chambre solitaire. La neige tombe ( continuer... ) Ce matin il est sorti en ville, acheter le journal et une baguette. Il a mis ( continuer... ) Les Levantins en leur légende Disent qu'un certain Rat las des soins d'ici-bas, Dans ( continuer... ) Pour soulever un poids si lourd, Sisyphe, il faudrait ton courage! Bien qu'on ( continuer... ) Coincé derrière une barrière de fer Les jours sont longs ici dans ce désert. Les ( continuer... ) Vois-tu? Vois-tu ce qui sommeille en moi? Vois-tu l'eau qui a coulé sous ( continuer... ) Veuves – tant de veuves si veuves avec ce nom créé pour elles, avec ce noir ( continuer... ) Non loin du piédestal où j'étais accoudé, A l'ombre d'un Sylvain de marbre ( continuer... Toujours et jamais poésie paul vincensini. ) Je dormirai ce soir d'un large et doux sommeil… Fermez bien les rideaux, tenez ( continuer... ) Je suis plantée, là, derrière la fenêtre.