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Wednesday, 31 July 2024
La perspective de recours « Ne pas se laisser faire » sous-entend que le permis de construire, s'il est accordé par la Ville de Royan, sera scrupuleusement étudié par les Amis du Parc et entraînera peut-être des recours. La demande de permis de construire a été déposée le 30 novembre dernier. Le promoteur l'a complétée en janvier. La Ville doit désormais se prononcer d'ici au 1er juillet. Les habitants du Parc ne se sentent pas isolés dans leur résistance. Le maire lui-même les a exhortés à la vigilance et à cette résistance. Patrick Marengo, sait la Ville, sera tenu d'accorder un permis de construire s'il est conforme au règlement urbanistique local, mais lui-même ne cache pas qu'il trouve trop dense le futur ensemble. Les Amis du Parc ont donc rempli pour partie leur mission en faisant connaître leur inquiétude au promoteur. Ils attendent en retour que la Ville aussi tente d'infléchir le promoteur en obtenant qu'il réduise le nombre de logements. Les amis du parc royan film. Ce que Duval Développement ne semble pas enclin à faire, après avoir déjà réduit la voilure une première fois.

Les Amis Du Parc Royan De

Par Stéphane Durand - Publié le 07/04/2021 à 12h46 Mis à jour le 28/06/2021 à 15h06 Avant même que ne soit dévoilé le projet lauréat du restaurant démontable du boulevard Garnier, le maire de Royan, Patrick Marengo, doit faire face aux foudres de l'association de riverains Alors que le projet de restaurant démontable en lieu et place de l'actuel Lido, boulevard Garnier à Royan, n'a pas encore été présenté, le dossier fait déjà couler beaucoup d'encre. Villa Odja à Royan : le promoteur rassure. Entre les candidats recalés qui ne comprennent pas pourquoi ils n'ont pas été auditionnés et les riverains qui se plaignent... Alors que le projet de restaurant démontable en lieu et place de l'actuel Lido, boulevard Garnier à Royan, n'a pas encore été présenté, le dossier fait déjà couler beaucoup d'encre. Entre les candidats recalés qui ne comprennent pas pourquoi ils n'ont pas été auditionnés et les riverains qui se plaignent de ne pas avoir été associés à la rédaction du cahier des charges du projet et qui redoutent d'avoir « une guinguette » à côté de chez eux, le sujet ne laisse pas insensible.

Sans convaincre leur auditoire. « Je n'adhère pas à votre projet. Je trouve qu'il présente une concentration excessive de logements et il est trop haut », a conclu Daniel Bontemps, résumant l'opinion de la plupart de ses adhérents présents. Deux logiques s'opposent Les promoteurs s'en sont déjà expliqués (notre édition du 8 mars). Au prix du mètre carré constructible à 200 mètres de la plage de la Grande conche, le pragmatisme et la rentabilité prévalent. Il en va de l'équilibre de l'économie du projet. « Et pourtant, a tenté de plaider Jérôme Lauranti, le plan local d'urbanisme nous autorise à construire jusqu'à 22 000 m² de surface de plancher, nous nous limitons à 14 000 m². » L'argument reste insuffisant pour les voisins, craignant tout à trac une dévaluation de leur propre bien immobilier, la transformation de la rue des Semis en périph'aux heures de pointe (! ), des intrusions dans les parkings souterrains des immeubles (! Les amis du parc royan charente maritime. )… Autant les promoteurs ont tenté de se justifier sur la dimension paysagère - limitée - de leur programme, autant ils sont restés perplexes face à certains arguments tendant à prouver que l'hostilité à la construction de cet imposant ensemble ne repose pas toujours sur des craintes rationnelles, mais qu'elle compliquera certainement la tâche de Duval Développement Atlantique, déjà prévenu: « Ça, c'est sûr qu'on ne va pas se laisser faire », lançait un habitant du Parc hier.