Le Secteur Tertiaire Au Gabon Jeux D

Thursday, 1 August 2024

Programme de l'unité d'enseignement (UE): le commerce international et les affaires au Gabon. Libreville L'introduction au Gabon (Afrique centrale) Affaires à Libreville, Franceville, Moanda, Port-Gentil, Oyem L'économie gabonaise L'industrie au Gabon: les mines, l'énergie... Le « Gabon vert »: l'agriculture et l'industrie du bois Le secteur tertiaire au Gabon: les transports, les télécommunications... Le commerce international (exportations, importations) gabonais Les investissements directs étrangers (IDE) au Gabon Les opportunités d'affaires: Les télécommunications Les travaux publics Les ressources naturelles La filière bois Le tourisme...

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Le Secteur Tertiaire Au Gabon Jeux D

Alors que les transports routier et fluvial ne connaîtront pas d'avancées spectaculaires, le transport aérien est, lui, porteur d'espoir. Malgré la situation sanitaire toujours très instable, les experts du secteur sondés par la BEAC croient en une reprise vive. Une tendance nettement visible au Congo-Brazzaville – avec le retour des vols Turkish Airlines et CEIBA Intercontinental, ainsi que le lancement de la desserte des vols Sky Mali et Transair Sénégal –, mais aussi au Gabon avec une augmentation des fréquences de vols. La création de nouvelles dessertes par la compagnie Afrijet basée à Libreville laisse également entrevoir des perspectives très encourageantes pour l'année 2022.

L'emploi public utilisé comme variable d'ajustement Face à la baisse tendancielle du nombre d'emplois formels dans le secteur privé, les gouvernements successifs ont utilisé l'emploi public comme variable d'ajustement du niveau de chômage dans le pays. Quand entre 1985 et 2010 les effectifs du secteur privé baissaient en passant de 74 053 à 41 517, ceux de l'administration publique progressaient fortement passant de 41 000 en 1985 à 78 400 en 2010. Répartition des emplois entre l'administration publique et le secteur privé formel (cliquer pour agrandir) A l'analyse, bien que le nombre de demandeurs d'emplois n'ait jamais cessé de croitre, le nombre d'emplois formels qui s'établissait à 115 570 unités en 1985 est resté stable sur 25 ans. En 2010, le Gabon ne dépassait toujours pas la barre des 120 000 emplois formels. Ce constat traduit l'échec des politiques publiques de l'emploi et révèle l'incapacité du Gabon à créer des emplois marchands susceptibles réduire le taux de chômage sans pour autant engorger l'administration publique.