Lecture Linéaire/Analytique, Les Fourberies De Scapin, Acte Iii, Scène 2 - Mystudies.Com

Thursday, 11 July 2024

Commentaire de texte: Les Fourberies de Scapin Analyse de la scène 2 de l'acte III. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 8 Novembre 2017 • Commentaire de texte • 355 Mots (2 Pages) • 14 932 Vues Page 1 sur 2 Les Fourberies de Scapin de Molière, Acte III scène 2 Il y a plusieurs comiques dans ce texte. Il y a le comique de situation, de geste, de mot, de caractère. Dans ce texte, Scapin joue plusieurs rôles. Le comique de situation domine ce passage puisque Géronte, enfermé dans un sac, perd son statut de maître. Rendu aveugle et ne pouvant plus bouger, il est condamné à subir les règles du jeu imposé par Scapin. Il devient la victime des rivaux imaginaire. Son valet, sous couvert de le protéger, devient le maître de la situation, ce que traduit l'emploi de l'impératif « prenez garde » (l. 1 et 26); « cachez-vous bien » (l. Les fourberies de scapin acte 2 scène 3 episode. 5). Cette inversion des rôles, crée le comique qui culmine lorsque Scapin affirme de façon effronté qu'[il] « ne trahira point [son] maître » (l. 38/39). Cette situation se double du comique de geste, puisque Scapin n'hésite pas à le rouer de coups, comme l'indique la didascalie: « donnant des coups de bâton sur le sac » (l.

Les Fourberies De Scapin Acte 2 Scène 3.1

(c) Expliquez ce que veulent dire les expressions en gras suivantes: · Tu iras prendre toutes les hardes qui sont dans cette grande manne, et tu les vendras aux fripiershardes: vieux vêtements fripiers: marchands de vêtements d'occasion [2] · Ah! c'est la douleur qui me trouble l'esprit. Géronte prétend qu'il ne peut pas réfléchir clairement parce qu'il souffre. Il y a deux causes possibles à cette souffrance: d'une part, l'enlèvement de son fils et de l'autre, les cinq cents écus dont il doit se départir. [2] Dans cet extrait, nous voyons à quel point Scapin est un habile manipulateur. Il fait semblant de s'adresser à Léandre devant Géronte en adoptant un ton pathétique qui vise à susciter la pitié du père. Les fourberies de scapin acte 2 scène 3 summary. Il emploie notamment le tutoiement ainsi que l'interjection « Hélas! » puis l'adjectif « pauvre » et déplore la possibilité qu'il ne revoie jamais son jeune maî la même réplique, Scapin culpabilise Géronte, lui faisant comprendre que si Léandre est réduit en esclavage, ce sera de la seule faute de son manque d' ailleurs, le fourbe ne perd jamais de vue son objectif: obtenir de Géronte les cinq cents écus dont Léandre a besoin dans un délai de deux heures.

Les Fourberies De Scapin Acte 2 Scène 3 Episode

" Tiens. Boilà cé que jé té vaille pour lui. " Ah, ah, ah! Ah, Monsieur! Ah, ah, Monsieur! Tout beau. Ah, doucement, ah, ah, ah! " Va, porte-lui cela de ma part. Adiusias. " Ah! diable soit le Gascon! Ah! (En se plaignant et remuant le dos, comme s'il avait reçu les coups de bâton. ) Géronte, mettant la tête hors du sac. Ah! Scapin, je n'en puis plus! Ah! Les fourberies de scapin acte 2 scène 3.1. Monsieur, je suis tout moulu, et les épaules me font un mal épouvantable. Comment? c'est sur les miennes qu'il a frappé. Nenni, Monsieur, c'était sur mon dos qu'il frappait. Que veux-tu dire? J'ai bien senti les coups, et les sens bien encore. Non, vous dis-je, ce n'est que le bout du bâton qui a été jusque sur vos épaules. Tu devais donc te retirer un peu plus loin, pour m'épargner… Scapin lui remet la tête dans le sac. Prenez garde. En voici un autre qui a la mine d'un étranger. (Cet endroit est de même celui du Gascon, pour le changement de langage, et le jeu de théâtre. ) " Parti! Moi courir comme une Basque, et moi ne pouvre point troufair de tout le jour sti tiable de Gironte? "

Au nom de l'amitié, Léandre, ne le maltraitez point. Monsieur, que vous ai-je fait? Léandre, voulant le frapper. Ce que tu m'as fait, traître? Eh! doucement. Non, Octave, je veux qu'il me confesse lui-même tout à l'heure la perfidie qu'il m'a faite. Oui, coquin, je sais le trait que tu m'as joué, on vient de me l'apprendre; et tu ne croyais pas peut-être que l'on me dût révéler ce secret; mais je veux en avoir la confession de ta propre bouche, ou je vais te passer cette épée au travers du corps. Théâtre en acte – Les Fourberies de Scapin : extrait, acte I, scène 3. Ah! Monsieur, auriez-vous bien ce cœur-là? Parle donc. Je vous ai fait quelque chose, Monsieur? Oui, coquin, et ta conscience ne te dit que trop ce que c'est. Je vous assure que je l'ignore. Léandre, s'avançant pour le frapper. Tu l'ignores! Léandre. Hé bien! Monsieur, puisque vous le voulez, je vous confesse que j'ai bu avec mes amis ce petit quartaut de vin d'Espagne dont on vous fit présent il y a quelques jours; et que c'est moi qui fis une fente au tonneau, et répandis de l'eau autour, pour faire croire que le vin s'était échappé.