Poesies.Net : Les Yeux.

Thursday, 1 August 2024

Citation de Voltaire; À Madame Lullin, le 26 novembre 1773. Les yeux des femmes sont comme certaines fontaines qui se remplissent et se sèchent aisément. Citation de Alphonse Esquiros; L'esprit des anglais (1856) À cinquante ans, je suis comme il y a trente ans; ma force s'alimente que dans les yeux de femme. Citation de Henri-Frédéric Amiel; Journal intime, le 17 septembre 1872. Les yeux et le cœur sont trop souvent la source du jugement des femmes. Citation de Gabriel Sénac de Meilhan; Des mœurs et des conditions en France (1795) L'esprit n'y voit pas clair avec les yeux du cœur. Citation de Alfred de Musset; Les premières poésies, Namouna (1832) L'amour, qui commence le plus souvent par les yeux, se nourrit des grâces de l'esprit et des qualités du cœur. Citation de Jules Simon; Le devoir (1854) Si vous avez les yeux plus grand que le ventre, vous n'êtes pas près de trouver une paire de lunette. Citation de Pierre Dac; Les pensées (1972)

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Les toiles brillent toujours Et les yeux se sont remplis d'ombre.... Les Yeux Extrait Des Stances Et Pomes Par Sully Prudhome Bleus ou noirs, tous aims, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l'aurore; Ils dorment au fond des tombeaux Et le soleil se lve encore. Les nuits plus douces que les jours Ont enchant des yeux sans nombre; Et les yeux se sont remplis d'ombre. Oh! qu'ils aient perdu le regard, Non, non, cela n'est pas possible! Ils se sont tourns quelque part Vers ce qu'on nomme l'invisible; Et comme les astres penchants, Nous quittent, mais au ciel demeurent, Les prunelles ont leurs couchants, Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent: Ouverts quelque immense aurore, De l'autre ct des tombeaux Les yeux qu'on ferme voient encore.

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Le garçon aux yeux bleus, Amedeo Modigliani, 1916 | Wikimedia Commons Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l'aurore; Ils dorment au fond des tombeaux, Et le soleil se lève encore. Les nuits, plus douces que les jours, Ont enchanté des yeux sans nombre; Les étoiles brillent toujours, Et les yeux se sont remplis d'ombre. Oh! qu'ils aient perdu leur regard, Non, non, cela n'est pas possible! Ils se sont tournés quelque part Vers ce qu'on nomme l'invisible; Et comme les astres penchants Nous quittent, mais au ciel demeurent, Les prunelles ont leurs couchants, Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent. Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Ouverts à quelque immense aurore, De l'autre côté des tombeaux Les yeux qu'on ferme voient encore. Stances et poèmes, 1865

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La lecture de ce poème est réalisée par Robert Werner, correspondant de l'Académie des beaux-arts, rédacteur en chef de la revue "Sites et Monuments" et vice-président de la Société pour la Protection des Paysages et de l'Esthétique de la France. Les yeux Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l'aurore. Ils dorment au fond des tombeaux Et le soleil se lève encore... Les nuits plus douces que les jours Ont enchanté des yeux sans nombre. Les étoiles brillent toujours Et les yeux se sont remplis d'ombre. Oh! Qu'ils aient perdu le regard Non, non, cela n'est pas possible, Ils se sont tournés quelque part Vers ce qu'on nomme l'invisible. Et comme les astres penchants Nous quittent, mais au ciel demeurent Les prunelles ont leur couchant Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent. Ouverts à quelqu'immense aurore De l'autre côté des tombeaux Les yeux qu'on ferme voient encore. Sully Prudhomme (1839-1907) En savoir plus: - Consultez la fiche de Sully Prudhomme sur le site de l' Académie française.

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129 poèmes < 10 11 12 14 15 Phonétique (Cliquez pour la liste complète): éléis élidé élis élit élu éludé élue élues élus élut élût hâla hâlai hâlais hâlait hâlas hâlât hâle hâlé hâlée hâlées hâles hâlés héla hélai hélais hélait hélas hélât... Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, Même quand elle marche on croirait qu'elle danse, Comme ces longs serpents que les jongleurs sacrés Au bout de leurs bâtons agitent en cadence. Comme le sable morne et l'azur des déserts, Insensibles tous deux à l' humaine souffrance, Comme les longs réseaux de la houle des mers, Elle se développe avec indifférence. Ses yeux polis sont faits de minéraux charmants, Et dans cette nature étrange et symbolique Où l'ange inviolé se mêle au sphinx antique, Où tout n'est qu'or, acier, lumière et diamants, Resplendit à jamais, comme un astre inutile, La froide majesté de la femme stérile. Avec ses vêtements ondoyants et nacrés Poèmes de Charles Baudelaire Citations de Charles Baudelaire Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poème | Envoyer à un ami | Voter pour ce poème | 703 votes Bizarre déité, brune comme les nuits, Au parfum mélangé de musc et de havane, Œuvre de quelque obi, le Faust de la savane, Sorcière au flanc d' ébène, enfant des noirs minuits, Je préfère au constance, à l' opium, au nuits, L ' élixir de ta bouche où l' amour se pavane; Quand vers toi mes désirs partent en caravane, Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis.

Par ces deux grands yeux noirs, soupiraux de ton âme, Ô démon sans pitié! Verse-moi moins de flamme; Je ne suis pas le Styx pour t' embrasser neuf fois, Hélas! Et je ne puis, mégère libertine, Pour briser ton courage et te mettre aux abois, Dans l' enfer de ton lit devenir Proserpine! Sed non satiata Poèmes de Charles Baudelaire Citations de Charles Baudelaire Plus sur ce poème | Commenter le poème | Voter pour ce poème | 600 votes < 10 11 12 14 15 Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Les poètes Z