Souviens Toi De Moi Jesus

Thursday, 11 July 2024

Méditatif 1. Souviens-toi, mon enfant: Tes parents divins Te serraient dans leurs bras, ce temps n'est pas loin. Aujourd'hui, tu es là, présent merveilleux, Ton regard brille encore du reflet des cieux. Parle-moi, mon enfant, de ces lieux bénis Car pour toi est léger le voile d'oubli. 2. Souviens-toi, mon enfant des bois, des cités. Pouvons-nous ici bas les imaginer? Et le ciel jusqu'au soir, est-il rose ou gris? Le soleil attend-il la neige ou la pluie? Conte-moi, mon enfant, la couleur des prés Et le chant des oiseaux d'un monde oublié. Souviens toi de moi jesus of nazareth. 3. Souviens-toi, mon enfant: A l'aube des temps, Nous étions des amis jouant dans le vent. Puis un jour, dans la joie nous avons choisi D'accepter du Seigneur le grand plan de vie. Ce soir là, mon enfant, nous avons promis Par l'amour, par la foi, d'être réunis. Texte du Comité linguistique français, de l'Eglise Musique d'Antonin Dvorak, 1841–1904 Job 38:4–7 Jérémie 1:4–5 Actes 17:28 Page précédente Page suivante

Souviens Toi De Moi Jesus Of Nazareth

Ainsi, nous sommes tous tentés de cacher notre vulnérabilité, de dissimuler notre maladie, notre âge, et notre vieillesse, puisque nous craignons que ce soit l'antichambre de notre perte de dignité. Demandons-nous: est-ce humain d'induire ce sentiment? Comment se fait-il que la civilisation moderne, si avancée et efficace, soit si mal à l'aise avec la maladie et la vieillesse, cache la maladie, cache la vieillesse? Et comment se fait-il que la politique, tant attachée à définir les limites d'une survie digne, soit en même temps insensible à la dignité d'une cohabitation affectueuse avec les personnes âgées et celles malades? Le vieillard du psaume que nous avons entendu, ce vieillard qui voit sa vieillesse comme une défaite, redécouvre la confiance dans le Seigneur. Il ressent le besoin d'être aidé. Et il se tourne vers Dieu. Semaine sainte : Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton royaume (répons) - Partition - Enregistrements. Saint Augustin, commentant ce psaume, exhorte le vieillard: « Ne crains pas d'être abandonné dans ta vieillesse. […] Pourquoi crains-tu que [le Seigneur] t'abandonne, qu'il te rejette au temps de la vieillesse, quand tes forces faiblissent?

La marginalisation des personnes âgées, tant au niveau conceptuel que pratique, corrompt toutes les saisons de la vie, et pas seulement celle de la vieillesse. Chacun d'entre nous peut penser aujourd'hui aux personnes âgées de la famille: comment est-ce que j'entretiens des relations avec elles, est-ce que je me souviens d'elles, est-ce que je leur rends visite? Est-ce que je veille à ce que rien ne leur manque? Est-ce que je les respecte? Les personnes âgées qui sont dans ma famille, maman, papa, grand-père, grand-mère, oncles, tantes, amis, est-ce que je les efface de ma vie? Ou est-ce que je vais vers elles pour trouver la sagesse, la sagesse de la vie? Souviens toi de moi jesus de lifoko. N'oublie pas que toi aussi, ta vieillesse arrivera. La vieillesse arrive pour tout le monde. Et de la même manière dont tu aimerais être traité au moment de la vieillesse, traite les personnes âgées aujourd'hui. Ils sont la mémoire de la famille, la mémoire de l'humanité, la mémoire du pays. Prendre soin des anciens qui sont la sagesse.