Amadeus Tunisie Remet Des Diplômes Au Premier Vivier De Formateurs Certifiés

Thursday, 1 August 2024

Aujourd'hui, l'AFMT, qui emploie 423 employés titulaires, coordonne pas moins de quatre écoles, trois centres et un institut: les écoles hôtelières d'Aïn Draham, Sousse El Kantaoui, Monastir et Tozeur, les centres de formation touristiques de Nabeul, Hammamet et Djerba, ainsi que l'Institut supérieur professionnel de tourisme Sousse El Kantaoui. Soit une capacité globale de plus de 3 000 places en formation. Aujourd'hui, l'AFMT coordonne pasmoins de quatre écoles, trois centres et un institut. Ces établissements publics ont pour mission de former des profils destinés à l'exercice des métiers de l'hôtellerie et du tourisme via l'alternance et l'apprentissage. « Ces modèles sont tout aussi pertinent pour des étudiants qui souhaitent poursuivre leur cursus en terminant sur une formation professionnalisante, que pour des salariés qui souhaitent gagner en compétences via une formation financée par leur entreprise », explique Imane Nora Azouzi, inspectrice pédagogique de l'enseignement général et des langues.

Institut Supérieur De Formation Aux Métiers Du Tourisme Hammamet En

Aujourd'hui, l'AFMT, qui emploie 423 employés titulaires, coordonne pas moins de quatre écoles, trois centres et un institut: les écoles hôtelières d'Aïn Draham, Sousse El Kantaoui, Monastir et Tozeur, les centres de formation touristiques de Nabeul, Hammamet et Djerba, ainsi que l'Institut supérieur professionnel de tourisme Sousse El Kantaoui. Soit une capacité globale de plus de 3 000 places en formation. Aujourd'hui, l'AFMT coordonne pas moins de quatre écoles, trois centres et un institut. Ces établissements publics ont pour mission de former des profils destinés à l'exercice des métiers de l'hôtellerie et du tourisme via l'alternance et l'apprentissage. « Ces modèles sont tout aussi pertinent pour des étudiants qui souhaitent poursuivre leur cursus en terminant sur une formation professionnalisante, que pour des salariés qui souhaitent gagner en compétences via une formation financée par leur entreprise », explique Imane Nora Azouzi, inspectrice pédagogique de l'enseignement général et des langues.

De nouvelles perspectives professionnelles Le fait que la formation puisse avoir lieu de cette façon malgré la pandémie est bénéfique pour tout le monde. « J'ai approfondi mes connaissances et j'ai désormais de meilleures chances de trouver un travail », déclare H. Labidi. « C'est vraiment ce que je souhaite, car je n'aime pas être sans emploi. » C'est également l'avis de son ami Wael Jemai. Le trentenaire vient de Jendouba, à l'ouest de la Tunisie. Il a déjà terminé une formation de pâtissier. Afin d'augmenter ses chances de trouver un emploi, il souhaite poursuivre sa formation. « Depuis mon enfance, je suis passionné de cuisine et de pâtisserie et j'ai envie d'apprendre. Je fais des progrès et j'espère pouvoir prouver mes talents dans un restaurant. » Ce matin, dans l'école professionnelle, il a appris à préparer de la pâte à pizza et de la sauce tomate fraîche. Il est désormais impatient de mettre sa première pizza maison au four. Outre H. Labidi et W. Jemai, environ 60 autres jeunes femmes et hommes participent aux formations dans les deux écoles professionnelles.