Seul Refuge De Mon Ame

Thursday, 1 August 2024

2 Voici que les méch a nts tendent l'arc: + ils ajustent leur fl è che à la corde pour viser dans l'ombre l'h o mme au cœur droit. 3 Quand sont ruin é es les fondations, que peut f a ire le juste? 4 Mais le Seigneur, dans son t e mple saint, + le Seigneur, dans les cie u x où il trône, garde les yeux ouv e rts sur le monde. Il voit, il scr u te les hommes; + 5 le Seigneur a scruté le j u ste et le méchant: l'ami de la viol e nce, il le hait. 6 Il fera pleuvoir ses fléa u x sur les méchants, + feu et soufre et v e nt de tempête; c'est la coupe qu'ils aur o nt en partage. 7 Vraiment, le Seigne u r est juste; + il aime to u te justice: les hommes droits le verr o nt face à face. Il sera reçu dans ta maison, sur ta montagne sainte, alléluia. Psaume: 14. 1 Seigneur, qui séjourner a sous ta tente? Qui habitera ta s a inte montagne? 2 Celui qui se condu i t parfaitement, + qui ag i t avec justice et dit la vérit é selon son cœur. François Bernheim - Letra de Le Refuge - ES. 3 Il met un fr e in à sa langue, + ne fait pas de t o rt à son frère et n'outrage p a s son prochain.

  1. Seul refuge de mon ame no tsuki

Seul Refuge De Mon Ame No Tsuki

Cela oppose clairement l'avant et l'après, tout comme dans cette opposition entre sang et paix: "Les flots de larmes sang" et "éclaboussent la paix". Le tutoiement renforce cette incompréhension face aux évènements. Ce sont des êtres humains qui ont abîmé la paix: "Que fais-tu [] de tes frères d'antan? "; "[], voles-tu leurs enfants? "; "Que fais-tu du passé? " L'emploi du présent accentue ce besoin de paix exprimé tout au long du poème. "Les flots de larmes sang éclaboussent la paix"; "Que fais-tu du passé…" Ce choix marque le sentiment énoncé au vers suivant: "Dans mes veines la tristesse inonde mon coeur", ainsi que l'esprit du poème qui tend vers une exhortation "Ton pays c'est ici, chante-le et sois sage! " Bonne continuation. "C’est à lui seul, en son âme et conscience, de savoir ce qu’il a à faire": le patron des Républicains Christian Jacob revient sur l'affaire Abad - Var-Matin. vis9vies Ce qui me plait: le rythme, vivant, avec interrogations, ralentissement (suspension) et exclamation. Certaines images, comme la porte des âmes, que je vois comme la porte ouvrant sur un paradis qui se ferme (porte rouillée) ou les épis droits au ciel, que je vois comme ceux qui ont poussé dans ce pays, qui l'ont alimenté et qui restent « purs » à leur mort.

Le dernier vers « Ton pays c'est ici, chante-le et sois sage! ». On croirait entendre un vieux singe qui essaie de calmer ses petits tapageurs. (Entre parenthèses, j'aurais préféré lire « Ton pays est ici »). Ce qui me plait moins: Le message sous-jacent qui n'est pas clair, avec des termes ambivalents. Par exemple, « le Livre » est une expression qui désigne la Bible. Le soldat serait donc plutôt chrétien? Synérèse à prononcer en diérèse. Pour moi « dieu » est une synérèse. « L'amour des mirages » n'est pas clair. Je pense à l'Orient, mais aussi aux mirages du capitalisme. Mais peut-être que ce ne sont que des mirages culturels. Ce que j'ai compris en première lecture, sans la phrase en avant-propos: Celui qui parle est d'origine étrangère (drapeau d'adoption, réfugiée) et reproche à un autre étranger en armes (soldat), vivant dans le pays où se trouve le narrateur, de tuer des personnes issues de ce pays (voler leurs enfants, leur pays te nourrit). Seul refuge de mon ame no tsuki. Les nations en jeu étaient autrefois amies (frères d'antan, passé, amour des mirages).