Résumé La Curee Zola Par Chapitre

Wednesday, 31 July 2024

Son « perron royal », ses « glands d'or » et ses lanternes exhibent l'éclat ostentatoire de la richesse de Saccard. A Monceau, tout n'est qu'« un étalage, une profusion, un écrasement de richesses » (chapitre 1). Nouveau riche à l'image de Zola - la curée 2629 mots | 11 pages Fiche de lecture sur « La Curée » de Emile Zola Présentation de "La Curée" de Zola Roman d'Émile Zola (1840-1902), La Curée fut publié à Paris en feuilleton dans la Cloche du 29 septembre au 5 novembre 1871 (publication suspendue par décision du parquet, la scène de l'«inceste» ayant choqué les autorités), et en volume chez Lacroix en 1871. Ce deuxième roman de la série des Rougon-Macquart sera repris en 1872 chez Charpentier, l'éditeur qui fera paraître désormais toute la série. Une adaptation La curee - emile zola 745 mots | 3 pages FICHE DE LECTURE La curée - Émile Zola I- AUTEUR: L'auteur Emile Zola né en 1840 et mort en 1902. Le mouvement littéraire dont il devient le chef est le naturalisme, il s'en fait le théoricien.

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Renée, Aristide et Maxime: personnages principaux de la Curée Le résumé de La Curée d'Emile Zola débute en 1860 au Bois de Boulogne. Renée et son beau-fils, Maxime, héros de la Curée, se promènent en parlant de certaines personnes présentes, des nobles essentiellement. Ils évoquent le passage du temps et l'ennui de Renée qui n'est pas heureuse bien que comblée matériellement. Ils regagnent ensuite leur hôtel particulier, vers le parc Monceau, où le mari de Renée, Aristide Saccard, organise une soirée mondaine. Toutes les personnalités de Paris y sont conviées. Les discussions portent sur le développement de la ville et les grands travaux qui ont débuté. Renée, ne s'intéressant qu'à Maxime, s'ennuie alors que celui-ci courtise Laure d'Aubigny. Jalouse, elle trouve refuge dans sa serre. Le deuxième chapitre de La Curée d'Emile Zola opère un retour en arrière. L'auteur retrace l'arrivée à Paris d'Aristide Rougon. En 1852, il arrive dans la capitale avec Angèle, sa femme, et leur fille pour retrouver Eugène, son frère, qui lui propose un poste important à l'hôtel de ville.

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Ayant goûté à « toutes les pommes », lassée de la banalité des amours « mortelles », elle y découvre « une de ces clairières idéales au fond desquelles les anciens dieux cachaient leurs amours géantes, leurs adultères et leurs incestes divins »... Bientôt « le rut de la serre » où les plantes se nouent les unes aux autres dans un « spasme d'amour » instillera en elle le philtre de perversion qui la mènera à la chute du Café Riche. III - LE JEU DES MIROIRS DANS LA CURÉE Les Parisiens de la décadence Les amours perverses de Renée, qui rêve de « festins antiques. comme on en voit dans les tableaux, avec des créatures couronnées de roses, des coupes d'or, des voluptés extraordinaires », évoquent ironiquement Les Romains de la décadence, une toile de Thomas Couture. A Napoléon III, qui se prenait pour César, Zola oppose en effet la fin de l'Empire: Maxime et Renée sont les « Parisiens de la décadence », ils incarnent « l'homme-femme des sociétés pourries » qui annonce la mort d'une civilisation.

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Tous les personnages sont marqués de la même ambiguïté: Renée s'entoure de lesbiennes, Maxime a « le balancement des hanches d'une femme faite », Louise de Mareuil a « l'air d'un garçon déguisé en fille » et Sidonie est «d'un hermaphrodisme étrange »... La mise en abyme dans La curée Zola organise ainsi un jeu de miroirs qui met en abyme le thème de l'œuvre. Maxime et Renée assistent à une représentation de Phèdre où la grande tragédie racinienne se détraque en une minable opérette d'Offenbach, le musicien fétiche du Second Empire: « La Ristori n'était plus qu'un gros pantin qui retroussait son péplum et montrait sa langue au public comme Blanche Muller, au troisième acte de La Belle Hélène », écrit le romancier. Quant aux tableaux vivants de M. Hupel de la Noue, ils annoncent le dénouement: «Le beau Narcisse, couché sur le bord d'un ruisseau, se regardait dans le clair miroir, il devenait fleur... A quelques pas, la nymphe Echo se mourait de désirs inassouvis. » Un espace théâtral C'est que le théâtre est le dernier mot de la nouvelle comédie humaine qui se joue sous les lambris de la fête impériale: l'hôtel Saccard, avec « ses glaces mises là pour étaler au-dehors le faste intérieur », avec son «feu d'artifice architectural », le bois de Boulogne, avec les « lignes théâtrales » de ses allées, ne sont qu'un « décor fraîchement peint ».

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Page 1 sur 14 - Environ 139 essais Zola 3908 mots | 16 pages Commentaire de La curée de Zola I. Le lieu L'hôtel Saccard Le monde d'Aristide Saccard est celui de l'hôtel du Parc Monceau dont la couleur prédominante est l'or. Son « perron royal », ses « glands d'or » et ses lanternes exhibent l'éclat ostentatoire de la richesse de Saccard. A Monceau, tout n'est qu'« un étalage, une profusion, un écrasement de richesses » (chapitre 1). Nouveau riche à l'image de ces bourgeois qui prennent le pouvoir sous le Second Empire, Saccard étale sa fortune sans La curée de zola 1749 mots | 7 pages La Curée: Le cadre spatio-temporelle: Le Second Empire Le 2 décembre 1851, Louis-Napoléon Bonaparte s'empare du pouvoir par un coup d'Etat. Prenant le nom de Napoléon III, il instaure le Second Empire. Comme l'a relaté Zola dans le premier volume des Rougon-Macquart, l'armée prend place dans les rues et en expulse le peuple, à Paris comme en province. Les libertés disparaissent et l'idéal républicain s'effondre.

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Finalement il accepte, voyant une belle opportunité financière. Quelques heures plus tard, sa femme agonise en le regardant comme si elle était au courant de ce que son mari avait manigancé avec Sidonie. Clotilde, leur fille, est envoyée chez un autre de leur frère qui habite Plassans. Le mariage se fait. Aristide va pouvoir s'enrichir car il dispose enfin d'une somme à investir et de biens fonciers qui vont lui permettre de spéculer. Renée trouve son mari laid mais s'accommode de cette situation. Peu de temps après le mariage, elle fait une fausse-couche. Très rapidement, elle s'installe dans cette nouvelle vie très confortable pour elle sur le plan matériel et, pendant qu'elle se distrait avec de nouvelles toilettes, son mari monte sa première grande affaire. C'est le début d'une fortune faite à partir de transactions malhonnêtes et de l'aide de son complice Larsonneau. Parallèlement, il se constitue un réseau d'hommes de pouvoir parmi lesquels M. Toutin-Laroche et le baron Gouraud. Ces deux derniers sont d'ailleurs eux-mêmes inquiétés par diverses affaires: le baron est un adorateur du trône et prêt à tout pour augmenter son pouvoir et sa richesse, c'est aussi un gros bonhomme qui aime les très jeunes filles, l'autre, sénateur, a les même ambitions et les mêmes idées pour les combler.

Elle refuse donc de signer. Saccard lui en veut et met sa sœur sur la piste pour qu'elle sache qui est son amant. Sidonie lui promet de trouver. Chapitre VI: Un bal travesti suivi d'un spectacle en trois tableaux a lieu chez Saccard, organisé par le préfet. Renée joue Écho, Maxime, Narcisse. La nymphe demande à Vénus d'ouvrir le cœur du jeune homme, sans succès, l'étalage de richesses n'y feront rien non plus, Écho devient l'écho et Narcisse une fleur… Tous les nobles sont là et assistent au spectacle, mais Renée est anxieuse. Elle se ballade à demi nue, un peu folle, et apprend par hasard le mariage de Maxime qu'elle ignorait. Elle le cherche, le trouve enfin avec Louise, et l'emmène dans sa chambre où elle lui fait une scène qu'elle termine par la décision de s'enfuir avec lui en Angleterre. Maxime n'ose pas refuser, mais Saccard les interrompt. Sidonie avait suivi Renée et était allée l'avertir. Mais il ne dit rien, prend le papier de Charonne que Renée avait signé pour montrer à Maxime qu'elle avait de l'argent et repart au bras de son fils.