Aux Feuillantines À Lire En Document, Hugo - Livre Numérique Littérature Poésie - Gratuit

Thursday, 1 August 2024

Métaphore: comparaison de la Bible ç un oiseaux des cieux Quelques axes possibles: 1. L'attrait du fruit défendu et l'atmosphère religieuse 2. La Bible un réservoir inépuisable de belles histoires 3. Le poème d’à côté : Victor Hugo | Littérature Portes Ouvertes. La mise en œuvre poétique et idéalisée de souvenirs d'enfance aa c'est rimes suivies (ou plates) et bccb c'est rimes embrassées Enjambement: (masculin) Dans un poème, un enjambement est le rejet au vers suivant d'un ou plusieurs mots nécessaires au sens du premier vers. Vers 2/3: mise en valeur des interdictions. Vers 5/6: mise en valeur de riaient Vers 8/9: mise en valeur de "livre inaccessible" inversion u sujet Vers 17/18: mise en valeur de "nous nous mîmes à lire" fin de vers Vers 22/23/24: mise en valeur de la comparaison entre la Bible et un oiseau céleste → fascination des enfants Métaphores Compréhension [20 min] Comment est nommée la Bible? « un livre inaccessible », « ce livre noir », « ce vieux livre » = objet mystérieux donc fascinant. Quels sens la découverte du livre éveille-t-elle chez les enfants dans les strophes 5 et 6?

Poème Aux Feuillantines De Victor Hugo A Benito Juarez

Ce vieux livre sentait une odeur d'encensoir. Nous allâmes ravis dans un coin nous asseoir; Des estampes partout! quel bonheur! Poème aux feuillantines de victor hugo a la mujer. quel délire! Nous l'ouvrîmes alors tout grand sur nos genoux, Et, dès le premier mot, il nous parut si doux, Qu'oubliant de jouer, nous nous mîmes à lire. Nous lûmes tous les trois ainsi, tout le matin, Joseph, Ruth et Booz, le bon Samaritain, Et, toujours plus charmés, le soir nous le relûmes. Tels des enfants, s'ils ont pris un oiseau des cieux, S'appellent en riant et s'étonnent, joyeux, De sentir dans leur main la douceur de ses plumes. Marine-Terrace, août 1855.

Toujours est-il que ces deux enfants ne sont pas exactement comme les autres, puisque ce n'est pas n'importe quel livre qui suscite leur intérêt. Ces enfants qui habitent dans un « couvent » sont instinctivement attirés par « un livre inaccessible », « un livre noir » qui se révèle être « une Bible ». Et le merveilleux n'est pas loin, puisque ce livre a un effet particulier sur les enfants: il les absorbe tout entiers, au point qu'ils en oublient leurs jeux et se mettent à lire. Comme si le livre sacré exerçait sur les enfants un charme mystérieux. Mais Victor Hugo évite la surenchère: il aurait pu multiplier les effets, les images, les figures de style. Mais non. Il évite l'emphase. Le poème reste simple, le merveilleux est suggéré sans forcer le trait. Poème aux feuillantines de victor hugo a benito juarez. En somme, jusqu'au dernier vers, on peut continuer de lire le poème comme le simple récit d'enfants qui s'amusent. On s'en rend compte aux noms propres de l'avant-dernière strophe: « Joseph, Ruth et Booz, le bon Samaritain ». On a l'impression que les enfants récitent la liste de leurs héros favoris.