Échaudage Blé 2012 Relatif

Wednesday, 31 July 2024
lun. 29 juin 2015 à 17:42 • Afp Les envolées caniculaires du mercure attendues cette semaine menacent d'altérer la récolte de blé, dont la France compte parmi les cinq grands producteurs mondiaux. Les producteurs redoutent un phénomène d'échaudage. Échaudage blé 2009 relatif. (©Terre-net Média) D epuis l'annonce de 40°C et plus à partir de mercredi, qui suscite une alerte sanitaire déclenchée par les autorités, le marché s'est lui aussi mis en état d'urgence avec un bond de 15 euros par tonne entre vendredi et lundi, remarque l'Association des producteurs de blé (Agpb). « On ne va pas crier avant d'avoir mal », lâche Arnaud Rousseau, agriculteur en Seine-et-Marne au sud de Paris, où l'absence de précipitations sérieuses depuis deux mois commence par ailleurs à se faire sentir. « Mais on a déjà des températures élevées depuis un certain temps, alors une semaine caniculaire quand on arrive au stade de maturation du grain, c'est au minimum une perte de rendement ». Les producteurs, anxieux, redoutent un phénomène d'échaudage, minutieusement décrit par l'historien du climat Emmanuel Le Roy Ladurie comme un des éléments déclencheurs de la Révolution française.
  1. Échaudage blé 2009 relatif
  2. Échaudage blé 2010 qui me suit

Échaudage Blé 2009 Relatif

Résultat de l'observatoire Latitude XL 2019-2020. Depuis l'arrivée de Latitude à son portefeuille, Certis multiplie les initiatives pour sensibiliser les agriculteurs au risque et à la présence du piétin-échaudage. Cette sensibilisation porte ses fruits aujourd'hui, avec une réelle prise de conscience sur le terrain, et une protection contre cette maladie qui progresse. Depuis 2017, Certis étudie le développement du piétin-échaudage et analyse l'effet de la protection ciblée sur le rendement des céréales à paille, grâce à son observatoire qui s'appuie sur des essais 'terrain' implantés dans les principales zones de production de l'Hexagone. Les enseignements de l'année sont formels: si les campagnes se suivent et ne se ressemblent pas, 2019-2020 a de nouveau démontré le bénéfice de la protection du capital rendement du blé tendre, du blé dur ou encore des orges contre cette maladie invisible qui attaque le 'potentiel récolte' par les racines. Début de moisson 2019 : premiers témoignages d'agriculteurs. Avec un automne chaud et humide, suivi d'un hiver doux, le contexte climatique de cette dernière campagne était favorable au développement du champignon responsable du piétin-échaudage.

Échaudage Blé 2010 Qui Me Suit

Sur céréales à paille, les traitements de semences restent incontournables contre les maladies charbonneuses (carie du blé, charbon nu de l'orge) et très précieux face aux bioagresseurs contre lesquels d'autres méthodes de lutte sont inexistantes, à efficacité partielle ou difficiles à mettre en œuvre. Le choix de ce type de protection s'appuie notamment sur la qualité sanitaire des semences, l'historique parcellaire et la date de semis. Ces critères déterminent les risques d'infections et/ou de nuisibilité des bioagresseurs. Rester vigilant et combatif face à la carie et au charbon nu La carie commune du blé reste présente sur le territoire en raison du fort pouvoir de propagation des spores. Un seul épi carié contient des millions de spores qui, disséminées lors du battage, viennent contaminer la récolte, les futures semences et le sol (ainsi que le matériel agricole). Échaudage blé 2010 qui me suit. La lutte chimique contre la carie repose uniquement sur la protection fongicide des semences. Plusieurs traitements sont très efficaces face à une contamination des semences et du sol.

La chaleur intense en période de remplissage du grain, qui va griller la plante et ses dernières feuilles, atténue le poids des grains de blé, donc les rendements, et la qualité. « C'est inévitable avec des températures comme celles annoncées », prévient Dominique Chambrette, agriculteur en Bourgogne (Yonne) et vice-président de l'Agpb. Échaudage blé 2010 relatif. Tout au plus espère-t-il une atténuation des effets de l'échaudage sur les plantes qui ont pu s'enraciner profondément au printemps du fait du manque d'eau qui les a poussées à puiser dans le sous-sol. C'est principalement dans les régions céréalières du centre, des pays de Loire et en Bourgogne que le risque est le plus élevé. Or, observe Sébastien Abis, spécialiste de la "Géopolitique du blé" (ed. Armand Collin) à l'Institut des Relations internationales et stratégiques (Iris), « la région Centre est l'une des plus importantes zones céréalières du monde et la première d' Europe » et assure « 10 à 15% de la production française ». « Juste » une perte de rendement?