Affiche Du Film Le Pianiste

Wednesday, 31 July 2024

Je vous propose aujourd'hui un film historique et dramatique se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale. Il s'agit de l'affiche du film « Le pianiste » réalisé par le grand Roman Polanski en 2002. Roman Polanski, ayant été lui-même victime de cet antisémitisme tenait à faire un film sur la persécution des Juifs en Pologne. Ce film rencontra un réel succès, il reçut en effet 13 prix dont 7 césars et 3 oscars. Cette affiche se compose d'un et unique plan. On y trouve au milieu un piano à queue en bois dans une pièce peu éclairée dans le fond. Peu d'indices concernant l'endroit où se déroule le film sont présents mais cela laisse penser qu'il s'agit d'un cadre intimiste. En revanche, on distingue une porte ou une fenêtre à l'arrière gauche laissant passer la seule lumière de la pièce. De chaque côté de l'affiche se trouve un homme, on ne voit que leurs bras. L'un est debout à droite, symbole de domination par rapport à l'autre homme. Il est appuyé contre le piano, la main en avant tenant le piano comme s'il observait et jugeait le pianiste.

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Il ne se passe littéralement plus rien, d'une cache à l'autre, d'une sauvegarde miraculeuse à une nouvelle trahison, et le film devient aussi étrange que bouleversant, parce que Polanski ne filme plus que le fil des saisons, une pauvre fenêtre à l'unique point de vue et les minutes d'une agonie, les soubresauts réflexes du dernier Juif de Varsovie, le souffle fragile du dernier homme sur la Terre, que l'Histoire a repoussé off, hors des limites du tableau de l'Apocalypse. Avant une nouvelle expulsion et la sortie parmi les ruines, aussi belles et picturales que celles de Full Metal Jacket, petit point vacillant au milieu d'une terre brûlée. On saisit alors à quel point ce film est intime. Si Le Pianiste se soucie si peu d'être édifiant, c'est qu'il est d'abord une confession, sans doute non dénuée d'une culpabilité indépassable, d'un créateur qui se doit d'être digne de sa première survie, suivie par d'autres morts et d'autres renaissances. A la fin de son parcours de survivant halluciné, Szpilman reprend Chopin là où il l'avait laissé, sans même parvenir à sauver des camps soviétiques l'officier allemand qui a fait de lui un survivant définitif.

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Compte Rendu: Le Pianiste. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 10 Février 2013 • 467 Mots (2 Pages) • 1 946 Vues Page 1 sur 2 Le Pianiste Film: Le pianiste sortie en 2002 Date: la seconde guerre mondiale Lieux: Allemagne Genre historique et dramatique Réalisateur: Roman Polanski d'après l'œuvre littéraire de Wladyslaw Szpliman. Le Pianiste est film a l'époque de la seconde guerre mondiale en Allemagne, il est sortit en salle en 2002, c'est un film historique et dramatique. Le réalisateur est Roman Polanski, d'après l'oeuvre littéraire de Wladyslaw Szpliman. Public visé: Tous ( sauf -10 ans) Financement: 85 million de dollars ( soir 85 million d'euro env) Acteur: Adrien Brody ( Les autres acteurs ne sont pas célèbres) Contexte Historique: La deuxième geurre mondial ( 1939-1945) Sous la dictature d'Hitler. Le film a couté plus de 85 millions d'euro, ce film est adapté a toutes sorte de publics, sauf les plus jeunes (en dessous de 10 ans) qui joue le rôle principale est Andrien Brody, le reste des acteur ne sont pas spécialement film se déroule pendant la 2ème guerre mondiale, en Allemagne sous l'emprise de la dictature d'Hitler.

Tournée en anglais avec un casting international, d'après le récit de Wladyslaw Szpilman, devenu un best-seller après sa réédition en 1998, cette reconstitution d'un épisode central (le ghetto de Varsovie) de la destruction des Juifs d'Europe provoquait un raidissement préconçu de nature pavlovienne et relançait le vieux débat quant à la possibilité d'une représentation fictionnelle, sur l'air de « La Passagère de Munk ou rien ». Le film balaie vite ce tissu de préventions, et Polanski évite tous les pièges où ont sombré ses prédécesseurs. Juif polonais, témoin et survivant de la tragédie, lui n'a nul besoin d'en rajouter dans l'empathie, ni de rappeler constamment qui sont les bons et qui sont les méchants, pour reprendre une line mordante de Maudite Aphrodite de Woody Allen. Il ne fait pas mine d'adresser son film à des collégiens américains qui ignoreraient tout de l'histoire du XX e siècle et ne prend pas son spectateur pour un dangereux amnésique auquel il faudrait sans cesse répéter quelques vérités élémentaires.