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Thursday, 1 August 2024

Pour voir plus haut et toujours plus beau! Le silence s'endort enlacé avec la nuit, Et les étoiles nous dévoilent leurs rêves inouïs. Une nuit enténébrée de nuages dénudée, Sur une étoile diamantée, le regard posé, Aimanté, étiré et de mille feux extasié, Le coeur boutonné dans la toile étoilée, Etoiles fuyantes, étoiles fardées, Etoiles filantes, étoiles poudrées, Eclairez de transparence nos nuits ombrées! Une étoile de plus dans le ciel poème francais. Envoutez nos rêves, bercez nos secrets! Inondez nos coeurs entre-ouverts, De votre grâce rayonnante à la nuit tombée, Illuminez nos regards ô combien fascinés Par vos lueurs comme des iris argentés, Inspiration magnifiée pour le rêveur, Face à cet éventail de petits soleils émiettés, Si la terre tourne et se retourne ensommeillée Glisser doucement dans les draps du ciel étoilé, Rêver que le temps puisse un moment s'égarer, Dans le labyrinthe de la galaxie infinie, Pour nous suspendre au coeur des étoiles, Et prolonger notre regard ébahi, Hors du temps, là-haut, tout là-haut! Là où mes pas m'ont guidé pour rêver tout haut, Un soir, au coeur de la montagne silencieuse, Là où le ciel respire de lumière gracieuse,.. 'au bout de la nuit étoilée!

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- C'était Blücher. L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme, La mêlée en hurlant grandit comme une flamme. La batterie anglaise écrasa nos carrés. La plaine, où frissonnaient les drapeaux déchirés, Ne fut plus, dans les cris des mourants qu'on égorge, Qu'un gouffre flamboyant, rouge comme une forge; Gouffre où les régiments comme des pans de murs Tombaient, où se couchaient comme des épis mûrs Les hauts tambours-majors aux panaches énormes, Où l'on entrevoyait des blessures difformes! Carnage affreux! moment fatal! L'homme inquiet Sentit que la bataille entre ses mains pliait. Derrière un mamelon la garde était massée. La garde, espoir suprême et suprême pensée! « Allons! faites donner la garde! Poème etoile - 36 Poèmes sur etoile - Dico Poésie. » cria-t-il. Et, lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil, Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires, Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres, Portant le noir colback ou le casque poli, Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli, Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête, Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête.

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:) 16/05 13:40 Vermeil Bonjour à tous! 16/05 11:21 Yuba Bonjour Georges et bonjour à toustes les poètes de Icetea:)

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Il poursuivra mon œuvre en marchant sur ma trace, Né qu'il est comme moi pour tenter et souffrir. Aux humains affranchis je lègue mon audace, Héritage sacré qui ne peut plus périr. La raison s' affermit, le doute est prêt à naître. Enhardis à ce point d' interroger leur maître, Des mortels devant eux oseront te citer: Pourquoi leurs maux? Pourquoi ton caprice et ta haine? Oui, ton juge t' attend, - la conscience humaine; Elle ne peut t' absoudre et va te rejeter. Le voilà, ce vengeur promis à ma détresse! Ah! quel souffle épuré d' amour et d' allégresse En traversant le monde enivrera mon cœur Le jour où, moins hardie encor que magnanime, Au lieu de l' accuser, ton auguste victime Niera son oppresseur! Délivré de la Foi comme d'un mauvais rêve, L ' homme répudiera les tyrans immortels, Et n'ira plus, en proie à des terreurs sans trêve, Se courber lâchement au pied de tes autels. Icetea & Fluminis poèmes :: Amitié - Une étoile dans le ciel écrit par Nighty. Las de le trouver sourd, il croira le ciel vide. Jetant sur toi son voile éternel et splendide, La Nature déjà te cache à son regard; Il ne découvrira dans l' univers sans borne, Pour tout Dieu désormais, qu'un couple aveugle et morne, La Force et le Hasard.

Je les vois engager une lutte éternelle; L ' image horrible est là; j'ai devant la prunelle La vision des maux qui vont fondre sur eux. Ce spectacle navrant m' obsède et m' exaspère. Une étoile de plus dans le ciel poème du. Supplice intolérable et toujours renaissant, Mon vrai, mon seul vautour, c'est la pensée amère Que rien n' arrachera ces germes de misére Que ta haine a semés dans leur chair et leur sang. Pourtant, ô Jupiter, l' homme est ta créature; C 'est toi qui l'as conçu, c'est toi qui l'as formé, Cet être déplorable, infirme, désarmé, Pour qui tout est danger, épouvante, torture, Qui, dans le cercle étroit de ses jours enfermé, Étouffe et se débat, se blesse et se lamente. Ah! quand tu le jetas sur la terre inclémente, Tu savais quels fléaux l'y devaient assaillir, Qu 'on lui disputerait sa place et sa pâture, Qu 'un souffle l' abattrait, que l' aveugle Nature Dans son indifférence allait l' ensevelir. Je l'ai trouvé blotti sous quelque roche humide, Ou rampant dans les bois, spectre hâve et timide Qui n' entendait partout que gronder et rugir, Seul affamé, seul triste au grand banquet des êtres, Du fond des eaux, du sein des profondeurs champêtres Tremblant toujours de voir un ennemi surgir.