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Wednesday, 31 July 2024

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Soit le narrateur est fou ( « Décidément, je suis fou! »), soit le surnaturel existe ( « Cette fois, je ne suis pas fou. J'ai vu… »). 2. Le résumé de l'histoire Le narrateur tient son journal, du 8 mai au 10 septembre. L'action se déroule donc sur un peu plus de quatre mois. — Mai: une bonne journée passée dans son jardin, à regarder les bateaux. Deux jours plus tard, il se dit malade et inquiet. Sa belle humeur l'a quitté. Passent deux jours sans que sa maladie ne le quitte. Le Horla – La classe de Français de 4ème. Son médecin le rassure. Malgré les médicaments, l'inquiétude persiste. Il note sa nervosité, sa peur de se coucher le soir. Il fait d'affreux cauchemars et rêve qu'on l'étouffe dans son sommeil, en pesant sur sa poitrine. — Juin: son état ne s'améliore pas. La solitude du bois, lors d'une promenade, l'inquiète; il a l'impression d'être suivi et a du mal à retrouver son chemin. Il décide alors de partir un peu, pour se changer les idées. — Juillet: un mois plus tard, il reprend son journal et y raconte sa visite au Mont Saint-Michel.

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Les personnages 5. Le personnage principal s'appelle le protagoniste. Son prénom est Wolfgang. 6. « il » est un pronom personnel. Un verbe commençant par le pronom « se » est un verbe pronominal. 7. Il rencontre une jeune femme. Le groupe nominal la désignant est « une silhouette accroupie ». 8. Évaluation finale le horla di. « C'était une forme féminine, vêtue de noir; assise sur une des dernières marches de l'échafaud, elle avait le buste penché en avant, son visage était enfoui entre ses genoux et ses lourdes tresses défaites traînaient sur le sol, ruisselantes de la pluie qui tombait à torrents. » « Son visage était pâle, mais d'une blancheur éblouissante, rehaussée par une profusion de cheveux noirs et denses qui l'auréolaient. Ses grands yeux étincelaient, avec dans leur expression quelque chose d'étrangement hagard. Ses formes avaient une harmonie parfaite, pour autant que la robe noire permettait d'en juger. Toute sa personne avait un cachet de noblesse, malgré la simplicité extrême de sa mise. La seule chose qui ressemblât à quelque parure, dans tout son vêtement, était le large ruban noir qu'elle portait au cou, retenu par une agrafe de diamants.

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« Le Horla » de Guy de Maupassant (1887) Le personnage est hanté par un être invisible qui le vampirise et le force à dépérir en se nourrissant de son énergie. Cet être manifeste sa présence en buvant l'eau de son verre ou en cueillant une fleur à ses côtés. Toutes les tentatives pour échapper à son emprise ayant échoué, le narrateur décide de lui tendre un piège afin de le tuer. Évaluation finale le horla et. J e le tuerai. Je l'ai vu! Je me suis assis hier soir, à ma table; et je fis semblant d'écrire avec une grande attention. Je savais bien qu'il viendrait rôder autour de moi, tout près, si près que je pourrais peut-être le toucher, le saisir? […] En face de moi, mon lit, un vieux lit de chêne à colonnes; à droite, ma cheminée; à gauche ma porte fermée avec soin, après l'avoir laissée longtemps ouverte, afin de l'attirer; derrière moi, une très haute armoire à glace, qui me servait chaque jour pour me raser, pour m'habiller, et où j'avais coutume de me regarder, de la tête aux pieds, chaque fois que je passais devant.

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2- En quoi consiste le phénomène incompréhensible? Explique-le en quelques phrases. 3- On retrouve toutes les manifestations de la peur telles que le narrateur les éprouvait le 25 mai. Comment le narrateur exprime-t-il la peur du personnage? Qu'essaye-t-il de faire aux lignes 248-252? Quels sont les deux adjectifs construits à partir d'un préfixe privatif, utilisés pour décrire l'être mystérieux qui prendrait possession de lui lorsqu'il est somnambule? Pourquoi répète-il deux fois l'expression " Qui comprendra? " ( Ligne 253) En conclusion, quel est l'impact sur le narrateur et le lecteur de l'apparition du surnaturel dans cette scène? __________________________________________________________________ Devoirs pour le 5 décembre: Revoyez la leçon du 28 novembre: le-horla-lec%cc%a7ons Grammaire. Le discours indirect. Faites les exercices 1 et 2 page 208: le-discours-indirect Lecture cursive. Le Horla, de Maupassant - Assistance scolaire personnalisée et gratuite - ASP. Lisez les nouvelles suivantes de Guy de Maupassant. Sur l'eau La Peur La Main Apparition Lui? Qui sait?

Souligne- les. Pourquoi le narrateur utilise-t-il deux pronoms personnels à ton avis? Souligne les déterminants des mêmes personnes entre les lignes 30 à 45. Lignes 32-42: quel est le type de phrase le plus employé? A ton avis pourquoi? Quel est l'intérêt dans un récit fantastique d'utiliser la forme du journal intime? Pourquoi le narrateur met-il une majuscule aux mots « Puissances » ( l. 34) et « l'Invisible » ( l. 48)? Comment s'appelle la figure stylistique qui consiste à répéter « tout ce que » entre les lignes 42 et 45? Quel effet cette figure produit-elle sur le lecteur? ___________________________________________________________________ Devoirs pour le 21 novembre: Lecture cursive. Lisez la nouvelle entière Le Horla Lecture détaillée. Évaluation finale le horla ги де мопассан. Répondez aux questions suivantes sur la page 8 mai: Le Horla est une nouvelle. Qu'est-ce qu'une " nouvelle" en littérature? Quelles informations nous sont données dans le début de cette nouvelle? Faites des phrase complètes dans vos réponses et cite le texte pour les justifier: Informations sur le personnage Sur le lieu où il habite Sur le moment où l'histoire se passe Quelle sorte de texte est cette nouvelle?

Donc je faisais semblant d'écrire, pour le tromper, car il m'épiait lui aussi; et soudain, je sentis, je fus certain qu'il lisait par-dessus mon épaule, qu'il était là, frôlant mon oreille. Je me dressai, les mains tendues, en me tournant si vite que je faillis tomber. Eh bien? …. on y voyait comme en plein jour, et je ne me vis pas dans ma glace! Elle était vide, claire, profonde, pleine de lumière! Mon image n'était pas dedans… et j'étais en face, moi! Je voyais le grand verre limpide du haut en bas. S'CAPE-Le Horla. Et je regardais cela avec des yeux affolés; et je n'osais plus avancer, je n'osais plus faire un mouvement, sentant bien pourtant qu'il était là, mais qu'il m'échapperait encore, lui dont le corps imperceptible avait dévoré mon reflet. Comme j'eus peur! Puis voilà que tout à coup je commençai à m'apercevoir dans une brume, au fond du miroir, dans une brume comme à travers une nappe d'eau; et il me semblait que cette eau glissait de gauche à droite, lentement, rendant plus précise mon image, de seconde en seconde.