24 Versets De La Bible Sur Puissance Du Christ, Illustrée

Thursday, 1 August 2024

7), Pierre répond « c'est par le nom de Jésus-Christ » (Ac 4. 10). Pierre serait-il en train de souligner la « puissance » du « nom » de Jésus? Si l'on lit ces textes dans leur contexte, on constatera que Pierre n'attire pas l'attention sur le « nom » de Jésus mais sur Jésus lui-même: la mention du « nom » de Jésus est accompagnée, dans les deux cas, d'une présentation précise de qui est Jésus (Ac 3. 13-15; 4. 10-11) puis d'un résumé du message du salut (Ac 3. 17-26; 4. La puissance dans le nom de jesus nous avons la victoire. 12). Ainsi, dans ce contexte, il est évident que la référence à la puissance du nom de Jésus est une manière de désigner la puissance de la personne de Jésus. De façon générale, on peut que constater que, dans la Bible, la « puissance » est une caractéristique personnelle: c'est Dieu qui est le « Tout-puissant », c'est le Saint-Esprit qui est une « puissance », c'est Jésus qui vient « avec puissance ». Il est d'ailleurs étonnant que, alors que divers versets indiquent que le nom de Dieu (ou de Jésus) est « grand », « magnifique » ou « glorieux », on se garde généralement de dire que son nom est « puissant ».

La Puissance Dans Le Nom De Jesus Nous Avons La Victoire

» Philippiens 2: 9-11 3. Le nom de Jésus-Christ est soutenu par TOUTES les puissances célestes de Dieu. 4. Dans le monde des esprits, le Nom Jésus est entouré du feu céleste. Le diable ne peut pas résister au feu divin généré à la mention du nom de Jésus-Christ. 5. Le nom Jésus-Christ invoque le sang que Jésus a versé sur la croix pour notre salut. Le diable déteste tout ce qui a à voir avec le sang de Jésus. 6. Le Nom Jésus signifie «Sauveur», nous sauvant de toutes les forces méchantes, y compris la mort. 7. La puissance dans le nom de jesús. Contrairement aux noms terrestres et au nom du diable, le nom de Jésus-Christ est éternel.

La Puissance Dans Le Nom De Jesús

Il a donc la légitimité de demander et prier « au nom de Jésus », c'est-à-dire en tant que son représentant. La « puissance » réside non pas dans le « nom » de Jésus, mais en Jésus lui-même. Ainsi, en Actes 9, Pierre n'a pas besoin de prononcer la formule « au nom de Jésus » pour que Tabitha ressuscite (Ac 9. 40), tout comme il peut dire au paralysé: « Énée, Jésus te guérit » (Ac 9. 34). Cela ne signifie pas pour autant que, parce qu'il est « en Christ », le croyant pourrait demander n'importe quoi « au nom de Jésus ». Un émissaire ne peut faire « au nom » de celui qui l'envoie que ce qui est conforme à la volonté de ce dernier. Comme le dit Jésus en rapport à ceux qui prétendent faire des miracles ou prophétiser « en son nom »: « Ce n'est pas tous ceux qui disent « Seigneur, Seigneur » qui entreront dans le royaume des cieux, mais ce sont ceux qui font la volonté de mon père qui est dans les cieux » (Mt 7. 21-23). La puissance dans le nom de jesus est si doux. Autrement dit, celui qui prétend faire « au nom » de quelqu'un ce qui n'est pas conforme à sa volonté est un imposteur.

Le risque d'une utilisation magique du « nom » de Jésus Cette dernière observation s'explique peut-être par le fait que les auteurs bibliques sont conscients du risque d'une utilisation magique du « nom » de Dieu ou de Jésus. Dans le monde de la Bible – comme dans de nombreuses cultures – il est courant d'inclure le nom de divinités (ou d'esprits) dans les formules magiques. En effet, ceux qui pratiquent la magie considèrent qu'il y a une « puissance » dans le fait de prononcer le « nom » de ces divinités. Et que la simple formulation de ces noms a une efficacité en soi. Le livre des Actes souligne à plusieurs reprises la différence entre les « signes et prodiges » chrétiens et les pratiques magiques (voir Ac 8. Cette histoire démontre la puissance du Saint Nom de Jésus. 9-25; 13. 4-12; 14. 8-20). En Actes 19. 13-17, face aux nombreuses guérisons et délivrances réalisées par l'intermédiaire de Paul, des exorcistes Juifs décident d'avoir recours à la même « formule magique ». Ceux-ci « entreprennent de nommer le nom du Seigneur Jésus sur ceux qui ont des esprits mauvais » (Ac 19.