Terres-De-Haute-Charente : Poussière Et Désespoir Au Conseil - Charente Libre.Fr

Thursday, 1 August 2024

La source diplomatique consultée par Arab News a indiqué qu'un acte de sabotage n'était "pas facile à croire" étant donné "la distribution du matériel" qui avait suscité les préoccupations de l'AIEA. Pour sa part, l'Iran a qualifié de "destructeur" le rapport de l'AIEA selon lequel il continue à enrichir de l'uranium à un niveau proche de celui nécessaire à la fabrication d'armes atomiques et a déclaré qu'il ne partagerait pas les informations permettant de clarifier le matériel trouvé dans trois installations nucléaires non déclarées tant qu'un nouvel accord n'aura pas été conclu avec les pays occidentaux concernés par l'accord nucléaire. AFP PHOTO/EU DELEGATION IN VIENNA - Cette photo publiée le 1er mai 2021 par la délégation de l'UE à Vienne montre des membres de la délégation des parties à l'accord sur le nucléaire iranien - l'Allemagne, la France, la Grande-Bretagne, la Chine, la Russie et l'Iran - participant à une réunion au Grand Hôtel à Vienne alors qu'ils tentent de rétablir l'accord.

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Luciano Maiani: Je me souviens de l'appel de Roger comme si c'était hier. Quelle que soit la suite des événements, il allait falloir prendre des décisions difficiles. En octobre, nous avions célébré la fin du programme d'expériences au LEP en présence d'éminents représentants des États membres, alors que la machine était toujours en cours d'exploitation. L'excédent d'événements observé par l'expérience ALEPH était toujours là. Aussi, une fois les discours terminés, nous avons commencé, discrètement, à évaluer le coût de l'exploitation du LEP pendant une année supplémentaire et ses répercussions sur la construction du LHC. Paroles il était une fois nous deux le. Le problème était que les excavations réalisées pour le LHC n'allaient pas tarder à atteindre le tunnel du LEP. Et donc, une année d'exploitation supplémentaire signifierait l'interruption des travaux, la fin des contrats et le versement de pénalités aux entreprises concernées, sans compter les coûts de fonctionnement supplémentaires qui n'avaient pas été prévus au budget.

Les événements se sont alors enchaînés rapidement. Le 3 novembre, le LEPC rendait son verdict: non concluant. Même chose ensuite du côté de la Commission de la recherche et du Comité des directives scientifiques (SPC). C'était à nous de décider; alors, avec Roger et tout le Directoire, nous avons tranché: le LEP, c'était fini. Le LHC était la machine la plus à même de nous révéler s'il y avait un boson de Higgs à 114 GeV ou si, en l'occurrence, le LEP avait poursuivi des chimères. Le 4 novembre, j'avais déjà écrit à George Kalmus, président du SPC. « La perspective de nous retrouver en septembre 2001 avec 3, 5 à 4 sigmas, une situation financière dégradée, un retard dans la construction du LHC et une communauté LHC dispersée n'est pas très encourageante. Je préfère ne pas m'engager dans cette voie-là. » Le 17 novembre, nous recommandions au Comité du Conseil de ne pas prolonger d'une année supplémentaire l'exploitation du LEP. Paroles il était une fois nous deux les. L'autre option consistant à miser 120 MCHF sur quelques anomalies dans les résultats, le Conseil, dans sa sagesse, suivit notre recommandation.