Article 173 Du Code De Procédure Pénale

Thursday, 1 August 2024

Actions sur le document Article 173-1 Sous peine d'irrecevabilité, la personne mise en examen doit faire état des moyens pris de la nullité des actes accomplis avant son interrogatoire de première comparution ou de cet interrogatoire lui-même dans un délai de six mois à compter de la notification de sa mise en examen, sauf dans le cas où elle n'aurait pu les connaître. Il en est de même s'agissant des moyens pris de la nullité des actes accomplis avant chacun de ses interrogatoires ultérieurs. Il en est de même pour le témoin assisté à compter de sa première audition puis de ses auditions ultérieures. Article 173 du code de procédure pénale ale belge. Il en est de même pour la partie civile à compter de sa première audition puis de ses auditions ultérieures. Dernière mise à jour: 4/02/2012

Article 173 Du Code De Procédure Pénale Ale Marocain

Cet avocat est choisi par le témoin assisté ou désigné d'office par le bâtonnier si l'intéressé en fait la demande. Le témoin assisté demandait au juge d'instruction, selon les modalités prévues par l'article 82 - 1, à être confronté avec la ou les personnes qui le mettent en cause ou formuler des requêtes en annulation sur le fondement de l'article 173. Article 173 du code de procédure pénale ale marocain. Lors de sa première audition comme témoin assisté, la personne est informée de ces droits par le juge d'instruction". Dès lors, à la lecture de cet article, quels sont les intérêts du statut de témoin assisté? Quels sont les inconvénients de ce statut tant pour le témoin assisté que pour le juge d'instruction? Il convient donc au préalable d'étudier les intérêts du statut de témoin assisté ( I), pour ensuite mieux analyser les inconvénients de ce statut: inconvénients qui concernent à la fois le témoin assisté et le juge d'instruction ( II).

Cour de Cassation, Chambre criminelle, du 28 octobre 1991, 90-83. Extension de la transaction pénale dans les domaines de l'environnement. 708, Inédit […] Sur le premier moyen de cassation pris de la violation des articles 65, 342, 343, 336, 337 du Code des douanes, 214 du traité CEE, 2 et suivants de l'arrêté du 18 avril 1957, 171, 172, 173, 194, 197, 198, 199, 200, 206, 209, 216, 217, 802, 593 du Code de procédure pénale, défaut de motifs et manque de base légale; Lire la suite… Douanes · Informatique · Traitement de données · Jugement étranger · Action publique · Acte · Traité cee · Accusation · Administration · Procédure pénale Voir les décisions indexées sur Doctrine qui citent cet article Vous avez déjà un compte? Afficher tout (+500) La pratique de l'état d'urgence a montré que les perquisitions administratives constituent, avec les assignations à résidence, les deux mesures de police administrative parmi les plus adaptées et les plus utilisées afin de prévenir la commission d'un acte lié au terrorisme ou d'une infraction pénale. En état d'urgence, les perquisitions administratives peuvent être mises en oeuvre dès lors qu'il existe des raisons sérieuses de penser que le lieu visé est fréquenté par une personne dont le comportement constitue une menace pour la sécurité et l'ordre public.